Rousseau and nacionalismo(s)

Sólo llevamos dos día de campaña de Elecciones Vascas. (La precampaña es permanente).
Ante los nacionalistas, vascos, españoles, catalanes, estadounidenses, cubanos, franceses, británicos... Quisiera recordar que la tierra no pertenece a quien nace en ella. No lo digo yo desde mi islita de sedición en embajadores. Se lo leí a Rousseau y creo que el autor presentaba una plena posesión de la verdad cuando lo aseguraba. Como la verdad es universal, la afirmación del francés tiene todo el sentido en estas horas de elecciones vascas.

“El primero que, habiendo limitado un terreno, dijo: ‘Esto es mío’, y encuentra gentes lo suficientes simples para creerlo, fue el verdadeor creador de la sociedad civil. Cuantos crímenes, guerras, asesinatos, cuantas miserias y horrores pudo haber evitado quien, arrancando la valla, grite a los otros: ‘Cuidado al escuchar a este impostor, estaís perdidos, si olvidais que los frutos son de todos, y que la tierra no pertenece a naide’ ”.

Il y a deux jours qu’on célèbre la campagne des élections au Pays Vasque. (La pré-campagne est constante). En regardant les nationalistes, vasques, espagnols, catalans, américains, cubains, français ou britanniques, je voudrais rappeler que la terre n’appartient pas a ceux qui n’ont fait que naître dans sa superficie. Je ne le dits pas depuis ma petite île subversive des ambassadeurs. J’ai lu à Rousseau et je crois qu’il avait la vérité de son côté. Comme la vérité est universelle, l’affirmation du français n’a pas tort dans nos jours.

« Le premier qui, ayant enclos un terrain, s’avisa de dire :‘Ceci est a moi’, et trouve des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d’horreurs n’eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié : ‘Gardez-vous d’écouter cet imposteur ; vous êtes perdus, si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n’est pas à personnes’ »
Jean-Jaques Rousseau dans « Le discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes.

The political campaing on elections for the Vasque’s Country has started three days ago. Versus nationalism, vasque, spanish, catalonian, french, cubain, american or british, I would like to recall that born in nowhere’s earth don do not make be the owner of this territoriy. I do not say that from my island for subversion. I read that to Rousseau and all that he said was true. Like true is universal, all that the french said has an application today.

He wrotte:
The first who, after enclose a territory, and say : ‘This is mine’ and find people who belives him, was the first true social civic founder. How many crimes, wars, murders and misery could avoid one who brakes the close and shrieks: ‘Do not pay attention to this faker’ ; you’re losed, if you forget that fruits are for everybody and nobody is the earth’s owner.